Poème : Pierre Tombale - L. Maryline
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Poème : Pierre Tombale - L. Maryline
Pierre Tombale
Paisible, je me baladais dans ce jardin muet
Où la pierre a remplacé ses feuilles de muguet
Dont ses écrits grisâtres noircissaient cette paix
Que seuls les cieux orageux frappaient près des Dieux.
L’avenir... ? Le passé orgueilleux et le présent pluvieux.
Pensif, je m’interrogeais dans ce parc auparavant boisé,
Mouillé par la culpabilité, la faute de n’avoir pu te sauver,
Où mes larmes régnaient sur ce lieu majestueux ma beauté,
Où mes doigts à jamais peindront ton portrait de ces reflets,
Réfléchis par la tristesse de ce marais, réfléchir m’illuminait.
J'hallucine de cette vie d’illusions, où nous nous marions
Par ce prêtre, qu'auprès de ce hêtre, ensemble nous convoitions
Qui donnait tant de réponses à tes questions, sa lecture vieillissait
Comme les fleurs auprès de mon arbre murissaient, le temps passait.
Sur ce lac des souvenirs, le paraitre laisse encore transparaitre ton être défait,
Lorsque je te voyais, lorsque l’on nageait, lorsque je me noyais en ce mois de mai...
Je chavire sur cette barque en bois massif, qui m’emporte et me porte... rébellion
A jamais je suis éteins du futur, radicale cette rupture, mais nous nous rappelions...
Demain, je t’accueillerai, Pierre tu seras gravé à mes côtés, aujourd’hui...
Plus de ténèbres, seule la marche funèbre célèbre cette semaine du huit
On y laisse les mirages, pour ce nouveau rivage car toi et moi, l’on a abouti.
Lecomte Maryline
Paisible, je me baladais dans ce jardin muet
Où la pierre a remplacé ses feuilles de muguet
Dont ses écrits grisâtres noircissaient cette paix
Que seuls les cieux orageux frappaient près des Dieux.
L’avenir... ? Le passé orgueilleux et le présent pluvieux.
Pensif, je m’interrogeais dans ce parc auparavant boisé,
Mouillé par la culpabilité, la faute de n’avoir pu te sauver,
Où mes larmes régnaient sur ce lieu majestueux ma beauté,
Où mes doigts à jamais peindront ton portrait de ces reflets,
Réfléchis par la tristesse de ce marais, réfléchir m’illuminait.
J'hallucine de cette vie d’illusions, où nous nous marions
Par ce prêtre, qu'auprès de ce hêtre, ensemble nous convoitions
Qui donnait tant de réponses à tes questions, sa lecture vieillissait
Comme les fleurs auprès de mon arbre murissaient, le temps passait.
Sur ce lac des souvenirs, le paraitre laisse encore transparaitre ton être défait,
Lorsque je te voyais, lorsque l’on nageait, lorsque je me noyais en ce mois de mai...
Je chavire sur cette barque en bois massif, qui m’emporte et me porte... rébellion
A jamais je suis éteins du futur, radicale cette rupture, mais nous nous rappelions...
Demain, je t’accueillerai, Pierre tu seras gravé à mes côtés, aujourd’hui...
Plus de ténèbres, seule la marche funèbre célèbre cette semaine du huit
On y laisse les mirages, pour ce nouveau rivage car toi et moi, l’on a abouti.
Lecomte Maryline
Vampyrella- Messages : 128
Date d'inscription : 09/05/2010
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