Un Vol sur le Mont du Pilat - L. Maryline
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Un Vol sur le Mont du Pilat - L. Maryline
Un Vol sur le Mont du Pilat
Je roulais sur les pâquerettes avec délicatesse,
J'humais leur parfum, à la rose des champs avec caresse
Je m'allongeais avec ma femme sur un lit de coton, un restaurant,
L'herbe caressait mes pieds avec la paille et la fraicheur du vent
Je buvais dans l'eau. Je nageais dans la rivière je buvais la tasse, vivant !
Et je marchais les pieds nus, j'étais un cerf-volant sur le sable doux et brulant.
Sa salive et la mienne étaient la bactérie qui formait un purgatoire de rêves sans cauchemars.
Mais un jour, notre voiture est partie. Le volant n'était plus là, pour nous conduire nulle part !
Le Mont du Pilat, que nous visitions autrefois, s'était évanouit, la statue de la liberté aussi...
Il demeurait en nos cœurs endormis. En nos corps péris.
Ce dommage avait brisé l'amour du charme qui dansait sur nos vies.
Nous restions bercés par la magie du passé au présent en s'aimant tout autant !
Mais nous avions perdu notre appartenance, nos ballades, s’étant endormies
Un vol amène toujours une tragédie pour autrui mais, je vous remercie,
La pire des tristesses c'est le drame, l'arrêt de la vie.
Lecomte Maryline
Je roulais sur les pâquerettes avec délicatesse,
J'humais leur parfum, à la rose des champs avec caresse
Je m'allongeais avec ma femme sur un lit de coton, un restaurant,
L'herbe caressait mes pieds avec la paille et la fraicheur du vent
Je buvais dans l'eau. Je nageais dans la rivière je buvais la tasse, vivant !
Et je marchais les pieds nus, j'étais un cerf-volant sur le sable doux et brulant.
Sa salive et la mienne étaient la bactérie qui formait un purgatoire de rêves sans cauchemars.
Mais un jour, notre voiture est partie. Le volant n'était plus là, pour nous conduire nulle part !
Le Mont du Pilat, que nous visitions autrefois, s'était évanouit, la statue de la liberté aussi...
Il demeurait en nos cœurs endormis. En nos corps péris.
Ce dommage avait brisé l'amour du charme qui dansait sur nos vies.
Nous restions bercés par la magie du passé au présent en s'aimant tout autant !
Mais nous avions perdu notre appartenance, nos ballades, s’étant endormies
Un vol amène toujours une tragédie pour autrui mais, je vous remercie,
La pire des tristesses c'est le drame, l'arrêt de la vie.
Lecomte Maryline
Vampyrella- Messages : 128
Date d'inscription : 09/05/2010
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