Le Trésor d'une Chanson - L. Maryline

[Vampyrella]

Le Trésor d’une Chanson

Sur la plage abandonnée, je suis pauvre petite fille riche à son bagage,
Seule et dévêtue de sa texture, elle s’habillait avec outrage !
Son manque remplaçait sa drogue, de la poudre aux yeux dorés et cernés,
Blanche Neige n’était que pour son nez, sa petite fée aimait voyager…

L’envie d’avoir envie sans se prendre pour Johnny, nous vient plutôt des Bergers !
Il convient d’Agnus Deï ou des brebis de Dieu, de notre volonté !
Et si elle n’était que péché, je suis déjà condamnée.
Une vie à se lever la nuit, pour échapper aux troubles de la journée…
J’ai parfois l’impression de me réveiller dans un marais journalier,
De perdre l’ovale du regard de l’astigmate,
Qui fuyait sa vision d’automates.

« Elle s’automutilait les bras, elle était devenue frigide… à froid.
Elle est en vie avec Claude François aujourd’hui qui attitrait joie. »

La mort que connaissait Anne-Lise était à la fois mûre et naïve comme un magnolia…
Forever. Tout à toi.

Lecomte Maryline